Cette décision, prise le 27 avril dernier, fait suite à une première validation le 17 septembre 2013 du transfert de l’aéroport, permettant de préserver la zone Natura 2000 située en bordure de l’aéroport actuel. La Commission avait ensuite demandé à l’Etat français d’appréhender le cumul des effets du projet d’aéroport avec ceux d’autres projets connexes comme la future liaison ferroviaire Nantes/Rennes.
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								Si cette procédure n’empêchait pas juridiquement le lancement des travaux, le gouvernement avait souhaité attendre la réponse de l’institution européenne avant de procéder à l’évacuation de la zone. "Après une déclaration d’utilité publique, après les décisions de 20 collectivités, après 178 décisions de justice, après le vote favorable à 55% des électeurs de Loire-Atlantique, cette décision de Bruxelles doit décider le prochain gouvernement à agir vite et à faire ainsi respecter la démocratie", a estimé Bruno Retailleau, président du SMA.
 
						 
					 
					 
						 
					 
				 
       
							 
							 
						 
						 
						
						 
							 
							 
				 
							 
						 
						 
						 
						 
					 
			