Le projet chinois Belt and Road bouleverse l’échiquier des flux mondiaux de marchandises et de personnes. Pour Volvo CE, il représente une manne non négligeable.
 
La steppe kazakhe est connue pour être vaste. Les gens qui y vivaient autrefois étaient des nomades qui dépendaient de leurs chevaux pour leur transport. Aujourd’hui, une route négligée et une mosaïque d’asphalte et de nids de poule servent de principales voies de transport. La siuation change avec le projet Belt and Road Initiative (BRI).
 
Actuellement, plus de 60 machines Volvo sont réparties sur le chantier, qui s’étend entre Usharal et Taldykorgan. Au total, plus de 400 machines Volvo travaillent sur 24 projets de la BRI.

"Depuis que la Chine a lancé ce projet en 2013, les infrastructures se développent en Asie. De plus en plus de sous-traitants chinois travaillent à l’étranger, ce qui offre de nombreuses opportunités commerciales à Volvo CE China et d’autres régions commerciales", rappelle Jawin Huang, président par intérim de la région Chine pour Volvo CE.
 
Les projets BRI sont en effet l’un des principaux moteurs des ventes Volvo dans la région Chine. Au cours des cinq dernières années, des entreprises chinoises, pour la plupart des grands comptes de Volvo CE, ont acheté plus de 400 machines dont des pelles, des chargeuses sur pneus et des finisseurs. Les différents chantiers accueilleront également des mini pelles et chargeuses compactes électriques Volvo.