Après la mise en place de la cuve de son réacteur, le 5 juin dernier, l’EPR chinois semble bien parti pour rentrer en service à la fin de l’année 2013. Il devancerait ainsi les projets français et finlandais mis en oeuvre à Flamanville et Olkiluoto.
Lancé un an après le début des travaux de construction de l’EPR de Flamanville et plus de trois ans après ceux du réacteur d’Olkiluoto, l’EPR de Taishan devrait voir le jour avant ces deux projets. Au-delà des retards accumulés sur les chantiers européens, cette situation s’explique par la force de travail déployée par la Chine. A la fin de l’année 2010, 9 000 ouvriers chinois avec d’énormes amplitudes de travail étaient à l’ouvrage à Taishan, soit le double des effectifs présents sur le site de Flamanville, rapporte le site d’information latribune.fr.