L’Ecole des mines d’Alès inaugurera le 21 juin prochain son Institut des sciences des risques (ISR), véritable laboratoire de recherche appliquée de niveau international.
Outre son activité de recherche, l’ISR sera aussi un centre de formation dédié à la gestion durable des territoires et à l’industrie responsable. Retenu parmi les grands projets du Pôle de compétitivité gestion des risques et vulnérabilité des territoires, l’Institut des sciences des risques s’appuiera sur l’expertise de l’Ecole des mines d’Alès dans ce domaines et travaillera sur trois axes principaux : l’étude, la modélisation et la prévention des accidents d’origine industrielle ou naturelle ; la simulation des catastrophes (accident de transport de matières dangereuses, feu de forêt, accidents chimiques, pollution maritime, crues éclair) pour en étudier les conséquences et pour améliorer l’organisation des cellules de crise ; l’étude des impacts humains, sanitaires et environnementaux des catastrophes naturelles et des accidents industriels. Outre la formation initiale qui sera dispensée dans cet institut, les professionnels de la gestion de crise (dirigeants d’entreprises, élus, préfets, Sécurité Civile, collectivités locales et territoriales) viendront y suivre des formations, notamment sur simulateur numérique (situations virtuelles d’accidents modification des scénarios en temps réel et étude des impacts des décisions).
Outre son activité de recherche, l’ISR sera aussi un centre de formation dédié à la gestion durable des territoires et à l’industrie responsable. Retenu parmi les grands projets du Pôle de compétitivité gestion des risques et vulnérabilité des territoires, l’Institut des sciences des risques s’appuiera sur l’expertise de l’Ecole des mines d’Alès dans ce domaines et travaillera sur trois axes principaux : l’étude, la modélisation et la prévention des accidents d’origine industrielle ou naturelle ; la simulation des catastrophes (accident de transport de matières dangereuses, feu de forêt, accidents chimiques, pollution maritime, crues éclair) pour en étudier les conséquences et pour améliorer l’organisation des cellules de crise ; l’étude des impacts humains, sanitaires et environnementaux des catastrophes naturelles et des accidents industriels. Outre la formation initiale qui sera dispensée dans cet institut, les professionnels de la gestion de crise (dirigeants d’entreprises, élus, préfets, Sécurité Civile, collectivités locales et territoriales) viendront y suivre des formations, notamment sur simulateur numérique (situations virtuelles d’accidents modification des scénarios en temps réel et étude des impacts des décisions).