Persuadé des vertus des contrats de partenariats, le groupe NGE annonce la création d’un fonds d’infrastructures dédié aux PPP en France.
"Avec la crise, les liquidités bancaires à long terme se sont raréfiées. Les critères de crédits se sont durcis et les contraintes d’arbitrage en termes de liquidités et de qualité de crédit ont considérablement augmentées", explique Joël Rousseau, président de NGE. Le groupe multimétiers a donc initié la création d’un fonds dédié aux "petits" projets d’infrastructures français en PPP. "Il s’agit d’un fonds de 100 à 200 M€ destiné à prendre des participations minoritaires dans des opérations d’un montant situé entre 50 et 500 M€", prévient Joël Rousseau qui avoue s’être inspiré du modèle du fonds portugais TICC. Dans le cas présent, c’est la Compagnie Benjamin de Rotschild (CBR) qui agit en qualité de conseil financier et assure une assistance au placement, tandis qu’OFI-Infravia apporte une équipe de gestion expérimentée. NGE y participe à hauteur de 20%.
"Avec la crise, les liquidités bancaires à long terme se sont raréfiées. Les critères de crédits se sont durcis et les contraintes d’arbitrage en termes de liquidités et de qualité de crédit ont considérablement augmentées", explique Joël Rousseau, président de NGE. Le groupe multimétiers a donc initié la création d’un fonds dédié aux "petits" projets d’infrastructures français en PPP. "Il s’agit d’un fonds de 100 à 200 M€ destiné à prendre des participations minoritaires dans des opérations d’un montant situé entre 50 et 500 M€", prévient Joël Rousseau qui avoue s’être inspiré du modèle du fonds portugais TICC. Dans le cas présent, c’est la Compagnie Benjamin de Rotschild (CBR) qui agit en qualité de conseil financier et assure une assistance au placement, tandis qu’OFI-Infravia apporte une équipe de gestion expérimentée. NGE y participe à hauteur de 20%.