Le secteur des travaux publics a connu deux mois difficiles en octobre et novembre. Après le blocage des raffineries, il a subi de plein fouet les conditions climatiques exceptionnelles d’un hiver précoce. Lors de cette période, les heures chômées pour cause de "chômage intempéries" ont été deux fois plus nombreuses que pour un mois de novembre "normal".
Les heures travaillées totales (permanents et intérimaires) sont ainsi inférieures de 2,4% par rapport au même mois de l’année précédente. Alors que les heures réalisées par les ouvriers permanents se replient de 2,6% sur un an, les heures effectuées par les intérimaires conservent une progression de 7,3% sur la même période.