Quelles sont les conséquences ?
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Les principales causes ?
Le défaut d’étanchéité entre le rejingot et la pièce d’appui (les dispositions constructives prévoient normalement une hauteur de rejingot de 25 mm minimum, avec une pente de l’appui maçonné de 10 %) ; des défauts propres à la menuiserie (colmatage des drains du seuil ou de la pièce d’appui,déformation ou retrait des ouvrants non compensé(e) par les joints, manque de résistance de la pièce d’appui à la circulation, défaut encore plus accentué lors de la présence d’une ITE) ; des défauts de la maçonnerie ; des défauts conceptuels (continuité du plancher avec pose directe de la menuiserie, absence ou insuffisance de garde à l’eau…).
Les bonnes pratiques ?
Bien concevoir et réaliser la liaison entre menuiserie et maçonnerie pour assurer l’étanchéité de l’ouvrage. Adapter les solutions constructives au regard de la réglementation sur l’accessibilité. Gérer en amont les interfaces très sensibles entre corps d’état (gros œuvre, menuiserie, revêtement de sol, étanchéité, isolation extérieure…).
Pour en savoir plus :https://qualiteconstruction.com/fiche/infiltrations-deau-par-seuil-de-porte-fenetre/