Lors de l’audience, le patron a raconté avoir accumulé du retard sur le chantier notamment parce que la société sous-traitante en charge du désamiantage travaillait également sur d’autres projets.
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Pour la Direccte (direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi) intervenant sur le chantier, le patron en plus de prendre des risques, a mis en danger les riverains en ne respectant pas les règles de sécurité concernant les poussières d’amiante.
Relaxé, le prévenu a toutefois été condamné à payer une amende de 4500 €.