Si en 2020, Engcon a vu ses ventes au niveau mondial diminuer, l’entreprise a toutefois compensé en améliorant sa rentabilité. 

Pour le Groupe Engcon, l’année de la pandémie 2020 s’est soldée par une baisse marginale du chiffre d’affaires net d’environ 123 millions d’euros (contre 134 millions de SEK en 2019). Le résultat d’exploitation a atteint 21,7 millions d’euros (contre  19,4 millions d’euros), entraînant une amélioration de la marge bénéficiaire d’un peu plus de 3,5 %.

« Avant la pandémie, nous pensions que 2020 avait le potentiel de devenir une nouvelle autre année record en termes de chiffre d’affaires et de bénéfices. Mais à mesure que l’économie ralentissait, nous avons dû changer notre mode de travail pour gérer la pandémie et ses effets. Comme en 2019, nous constatons que notre stratégie d’implantation ambitieuse sur les marchés en dehors des pays nordiques nous a permis de limiter la baisse des ventes mais surtout d’améliorer le résultat, ce qui fait que nous avons vu notre rentabilité augmenter pendant la pandémie », a déclaré Krister Blomgren, directeur général du Groupe Engcon. Et de poursuivre : « En même temps, nous entrons dans une nouvelle phase où nous sommes confrontés à une hausse de la demande et à une augmentation des coûts pour y répondre. Heureusement, nous avons les moyens d’y faire face. »

Engcon poursuit une stratégie de croissance ambitieuse. Des marchés comme l’Amérique du Nord, l’Asie et l’Australie ont contribué au chiffre d’affaires et à la rentabilité en 2020. Ce sont aussi des marchés où l’activité pelles hydrauliques devrait connaître une forte progression au cours des trois années à venir. 

« Malgré une année difficile qui nous a obligés à redoubler d’efforts, nos collaborateurs ont répondu présent et ont fait preuve de loyauté et de détermination.   Je suis extrêmement fier de voir à quel point tout le monde a travaillé dur pour maintenir notre position de numéro 1 et pour que nous puissions continuer à améliorer le quotidien de tous les conducteurs de pelle à travers le monde. C’est grâce à ces efforts que nous avons l’énergie nécessaire pour répondre à la reprise économique et à la hausse de la demande sur le marché mondial », conclut Krister Blomgren.