Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Mines, Philippe Cohet débute sa carrière dans la chimie, au sein du groupe Rhone Poulenc devenu Rhodia où il occupe plusieurs postes de direction pendant une vingtaine d’années, notamment directeur des Achats Corporate de 1998 à 2001 et directeur général de l’activité Terres rares.
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En 2014, il prend la présidence d’Arcomet, spécialiste en Europe du Nord des métiers de location, distribution et services de grues à tour, basé en Belgique et un an après celle de Matebat.
Ces deux entreprises partageant le même actionnaire majoritaire, son objectif a été de rapprocher les deux groupes, de partager les bonnes pratiques et de développer leurs synergies. La fusion juridique s’opère en juillet 2019 et les deux entités sont regroupées sous le nouveau nom d’Uperio.
Au sein de DLR, il participe à la création, avec d’autres sociétés du secteur, de la commission des Loueurs de grues à tour dont il prend la présidence. Cette nouvelle commission de la fédération est créée pour permettre de répondre positivement aux évolutions réglementaires du secteur et aider les entreprises adhérentes à faire face à ces nouveaux défis. Il rejoint aussi le bureau du Syndicat des monteurs et dépanneurs de grues à tour (SPMDG) et participe à l’intégration de ce syndicat dans DLR.
À la présidence de DLR, Philippe Cohet souhaite poursuivre, 3 ambitions :
- L’accompagnement de la transformation numérique : les entreprises de la profession – en particulier les plus petites d’entre elles - ont besoin d’être accompagnées, par rapport aux défis du digital et de la numérisation d’un certain nombre de leurs processus et DLR a la responsabilité de les aider dans cette transformation numérique.
- Les hommes, la formation et le développement des compétences : la profession a besoin, tant pour ses collaborateurs actuels que pour ceux qu’elle va recruter, d’une part d’être attractive, et d’autre part, de continuer à leur offrir le cadre de formations qui leur permettront d’être efficaces, dans un environnement matériel lui-même en pleine évolution.
- La représentativité : DLR doit être plus présent dans les régions, au plus près de ses membres, de manière à répondre à leurs questions, et s’inspirer de leurs attentes pour pouvoir continuer à être une fédération qui représente vraiment, de manière très générale et très forte, ses métiers. Et, ainsi, pouvoir peser sur l’environnement dans lequel ils évoluent et apporter de plus en plus de satisfaction de la part ses adhérents.