Validé par le conseil d’Etat, le PER avait été accordé par décret en date du 11 novembre dernier à la suite d’une instruction locale puis nationale.
Pour l’UNPG, « cette décision est surprenante en cette période où l’action publique et privée prétend à une plus large concertation, à la co-construction des projets et à l’amélioration des connaissances du milieu marin. »
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Elle ajoute également : « Un PER constitue des droits de recherches scientifiques et non un droit d’exploitation. »
Sur les départements côtiers, les granulats marins représentent 20 à 60 % de la réponse au besoin en matériaux de construction. Ils constituent une ressource indispensable à l’aménagement des territoires, au même titre que d’autres ressources, comme les granulats issus du recyclage.