Freddy Meignen, chargé de projets, et Maxence Guilbaud, responsable commercial chez Wheel Clean, nous ont livré le bilan de leur activité pour l’année 2014 et les perspectives qui s’ouvrent à l’entreprise spécialisée dans les nettoyeurs de roues durant le congrès de la Société de l’Industrie Minérale (SIM) qui s’est tenu à Bordeaux du 8 au 10 octobre dernier.
Pour Maxence Guilbaud, "2013 a été une excellente année où Wheel Clean a vu ses efforts récompensés. On a mis 2014 à profit pour revoir l’ensemble du marketing. Historiquement, nous sommes les plus anciens et les plus reconnus sur le marché. On doit donc affirmer notre présence et témoigner de notre bonne santé car on se développe progressivement en Belgique, en Suisse et, bien sûr, en France".
Quant à l’année 2015, le responsable commercial de Wheel Clean détaille la stratégie de la société : "Si le marché hexagonal devient trop tendu l’année prochaine, nous envisagerons de miser davantage au-delà de nos frontières. Parallèlement, nous étudions aussi les possibilités existantes pour livrer le Maghreb. Le but est vraiment d’innover, d’aller chercher l’activité là où elle se trouve, et de ne pas se contenter de dire que la conjoncture est mauvaise et qu’on ne peut rien y faire".
"Nous avons un portefeuille assez large mais en même temps assez tendu, ajoute Freddy Meignen. Sur mon segment [les nettoyeurs de roues avec jets d’eau, ndlr], j’ai des projets s’inscrivant sur une durée moyenne de 18-24 mois. Mais il y a tellement de facteurs qui incombent aux prises de commandes qu’il est compliqué d’estimer un potentiel résultat".
Et Maxence Guilbaud de conclure : "Nos produits représentent des achats de contraintes pour nos clients, ce ne sont pas des produits faciles à vendre. Cependant, nous avons aussi des arguments, parmi lesquels l’atout environnemental de nos produits, mais également l’atout sécuritaire. Il y a une demande très forte de la part des pouvoirs publics, avec une sollicitation croissante auprès des entreprises de garder les routes propres. C’est pourquoi on a aujourd’hui un portefeuille de demandes de l’ordre de 180 dossiers".
