« Comme Vinci l’a toujours indiqué, le groupe s’attache non seulement à respecter le droit local du travail et les droits fondamentaux, mais aussi à faire progresser en permanence les conditions de travail et de vie de ses salariés, au Qatar comme partout dans le monde », indique la société dans un communiqué.
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Dans ce communiqué, Vinci affirme par ailleurs que plus de 70% de ses ouvriers en fin de contrat décident, en rentrant de vacances, de revenir chez QDVC pour signer un nouveau contrat de 2 ans. En outre, à la suite de discussions amorcées en décembre 2014, bien avant la plainte déposée par Sherpa, le groupe avait signé un accord sur le droit des travailleurs au Qatar avec l’Internationale des travailleurs du bâtiment et du bois (IBB) et sa filiale QDVC.