Selon France Info, l’Etat se pencherait sur la possibilité d’annuler le contrat établi avec Vinci, désigné en 2010 pour construire et exploiter le futur aéroport pour une durée de 55 ans. Difficile. Une clause du contrat prévoit le versement de 350 M€ en cas d’abandon du projet. Mais l’Etat chercherait à "contester le document sur le plan juridique".
PUBLICITÉ
Pour l’heure, le premier ministre Edouard Philippe a reçu ce jour les élus locaux membres du Syndicat mixte aéroportuaire du Grand Ouest. Une décision définitive est attendue à la fin du mois.