Ce rapport intitulé "Le revers de la médaille. Exploitation sur un site de la Coupe du monde de football Qatar 2022" dénonce tout particulièrement "l’indifférence de la FIFA face au traitement révoltant réservé aux travailleurs migrants". Alors que leur nombre va être multiplié par 10 dans les deux prochaines années, Amnesty International affirme qu’ils subissent "de graves abus incluant la pratique du travail forcé".
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Bien que le Supreme Committe for Delivery and Legacy (SC), l’instance responsable de l’organisation du Mondial 2022 et des travaux du stade, ait publié en 2014 des Normes de bien-être des travailleurs obligeant les entreprises à accorder de meilleures conditions de travail que celles prévues par la législation du Qatar, Amnesty International rapporte que ces mesures ne sont pas appliquées.