Pour expliquer cette situation, Guillaume Pepy a notamment rappelé que derrière le TGV et les constructions de lignes à grande vitesse (LGV), il s’agissait de faire face au vieillissement du réseau classique. Un impératif qui se traduit par la mise en place d’un plan de rénovation sur 4 à 5 ans pour un coût de 13 milliards d’euros.