Le feuilleton du financement de la future ligne à grande vitesse (LGV) Tours-Bordeaux semble enfin toucher à sa fin. La ministre de l’écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet accompagnée du secrétaire d’Etat au transport, Thierry Mariani, a confirmé l’engagement de l’Etat à hauteur de 1,505 milliard d’euros sur les 6,703 que représente le projet.
En y additionnant la contribution des collectivités locales, l’investissement public atteindra les 2,992 milliards d’euros. Sachant que Réseau ferré de France (RFF) finalise actuellement le contrat de concession avec le groupement mené par Vinci (Lisea), l’objectif d’une mise en service à la fin de l’année 2016 réapparaît comme envisageable.