Après l’incendie de la toiture du monument en avril dernier, une importante campagne de reconstruction a débuté. Le chantier nécessite un approvisionnement conséquent en matériaux et engins de construction.
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Ce mode de transport est idéal pour l’acheminement de pièces lourdes, indivisibles et de grandes dimensions. Le réseau fluvial n’étant pas saturé, il peut aujourd’hui accueillir quatre fois plus de trafic qu’aujourd’hui.
En 2018, le transport fluvial de colis lourd a ainsi représenté 708 000 tonnes de marchandises transportées et 183 millions de tonnes–km, pour environ 700 voyages.
Sur le chantier de Notre-Dame, un second transformateur sera prochainement livré fin janvier, début février 2020, par le même canal.