"Nous savons tous que Tim n’a pas assez de travail et a plus d’employés que nécessaire actuellement", débute Fil Filipov dans une lettre ouverte adressée aux salariés le 28 avril dernier. Une décision étonnante - quand on sait que l’industriel s’était battu bec et ongles pour se rendre maître de Tim, acquise en juillet 2017 - mais réaliste.
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Pour l’heure, Fil Filipov entend coopérer. Une potentielle transaction pourrait être réalisée avant le 31 mai. "J’ai accepté de vendre 100 % de mes actions dans l’état et en ces lieux pour 1 euro. Peu importe ce qui arrivera, vous pouvez avoir confiance en l’avenir de Tim en tant que fournisseur fiable de cabines et autres composants en acier", ajoute-t-il dans ce courrier.