L’Institut français des sciences et technologies des transports, de l’aménagement et des réseaux (Ifsttar) participe à un programme d’action autour du thème de la protection du littoral.
Plus précisément, l’institut travaille à l’identification des zones sensibles, non plus par l’analyse intrusive des matériaux qui composent les digues, mais par l’analyse géophysique des variations temporelles de certains paramètres, tels que la teneur en eau. "L’intérêt de cette méthode réside non plus dans la seule auscultation des zones dangereuses mais dans le suivi temporel des évolutions des propriétés internes de ces objets", indique l’Ifsttar. Aujourd’hui, plus de 900 km de digues sont du ressort de l’Etat.