Cet argent, destiné à financer la construction de blocs sanitaires et de puits au sein des deux écoles à Madagascar et améliorer ainsi les conditions sanitaires des enfants est le signe concret de la mobilisation des Canalisateurs, au travers de leur réseau territorial de délégations, de sa volonté d’accompagner au plus près les collectivités locales dans leur adaptation au changement climatique, qui a des répercussions sur le cycle de l’eau pour la très grande majorité des Français.
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Les entreprises de canalisations mettent à la disposition des collectivités des solutions sur-mesure et efficiences pour s’adapter aux problématiques hétérogènes des territoires ruraux, urbains ou périurbains. Pour Alain Grizaud, président des Canalisateurs : il est primordial, pour anticiper les effets du changement climatique, de bâtir collectivement une véritable gestion durable et patrimoniale des réseaux d’eau et d’assainissement, pour maintenir en France la qualité de l’eau lors de son transport. Il rappelle aussi l’importance d’un suivi des mesures des Assises de l’eau pour poursuivre concrètement l’application des premières actions, au travers de comités de suivis dans chaque région.
Un don pour les enfants
Selon l’Unicef, Madagascar fait partie des trois pays les moins avancés en termes d’accès aux structures d’assainissement de base. Ce faible accès a des conséquences importantes sur la santé, surtout celle des enfants qui sont davantage affectés par les maladies à transmission hydrique. Les écoles Antsaonjobe et Antoby, situées 50 km de la capitale Antananarivo, rencontrent cette problématique, avec des blocs sanitaires non adaptés aux enfants et insalubres. Les 179 élèves accueillis dans ces deux écoles souffrent de malnutrition et d’infections parasitaires dues au manque d’hygiène. Ce projet humanitaire propose donc d’améliorer leur santé, leurs conditions d’hygiène en construisant de nouveaux blocs sanitaires et lave-mains collectifs, alimentés par un puits.