Lors de sa visite au Havre le 21 avril dernier, le président de la République, Nicolas Sarkozy, s’est dit prêt à faire évoluer "les procédures et règlements actuels" afin de permettre à la ligne à grande vitesse (LGV) Paris Normandie de voir le jour trois ans avant la date annoncée.
Le chef de l’Etat vise 2017 et les 500 ans de la fondation du Havre pour la mise en service de la ligne. Après avoir évoqué la possibilité de légiférer pour faire accélérer les choses, Nicolas Sarkozy a expliqué son volontarisme par une formule. "A projet exceptionnel d’intérêt national, mesures exceptionnelles".