Après 60 années d’existence, le LCPC – Laboratoire des Ponts et Chaussées – a fusionné avec l’Inrets – Institut National de Recherche sur les Transports et leur Sécurité – pour former un nouvel institut baptisé Ifsttar – Institut Français des Sciences et Technologies des Transports, de l’Aménagement et des Réseaux.
L’Ifsttar conserve un statut d’Etablissement public à caractère scientifique et technologique placé sous la tutelle conjointe des ministres chargés de l’écologie et de la recherche. Il se fixe comme ambition de devenir un acteur de référence à l’échelle internationale dans les domaines du génie civil et des infrastructures de transport notamment. Ce rapprochement vise à améliorer la performance de la gestion de l’ensemble en réalisant des économies d’échelle. L’Inrets et le LCPC, qui partageaient déjà le même président de Conseil d’administration et la même présidente de Conseil scientifique, avaient déjà lancé deux unités mixtes : le Livic (Laboratoire sur les interactions véhicule-infrastructure-conducteur) à Satory et le Lepsis (Laboratoire exploitation, perception, simulateurs et simulations), à Paris. "Ce regroupement répond en toute priorité à la volonté commune de nos deux ministères et des établissements de mieux traiter les sujets de recherche qui sont au croisement des compétences du LCPC et de l’Inrets sur lesquels la France risque de se trouver en position de faiblesse si elle ne réagit pas à temps", explique Hélène Jacquot-Guimbal, directrice générale du LCPC et préfiguratrice de l’Ifsttar. Les grandes missions du nouvel institut sont d’ores et déjà tracées :
- traiter les questions environnementales liées aux infrastructures et à leur exploitation (bruit, pollution de l’air, pollution de l’eau…) ;
- optimiser l’exploitation des réseaux routiers, en intégrant les préoccupations des économies d’énergie à celles de sécurité routière ;
- concevoir des réseaux routiers du futur, couplant véhicules communicants et infrastructures communicantes, ainsi que le développement de démonstrateurs pré industriels ;
- exploiter et assurer la maintenance et la sécurité des réseaux ferroviaires, au moment de l’ouverture européenne des marchés ferroviaires.
L’Ifsttar conserve un statut d’Etablissement public à caractère scientifique et technologique placé sous la tutelle conjointe des ministres chargés de l’écologie et de la recherche. Il se fixe comme ambition de devenir un acteur de référence à l’échelle internationale dans les domaines du génie civil et des infrastructures de transport notamment. Ce rapprochement vise à améliorer la performance de la gestion de l’ensemble en réalisant des économies d’échelle. L’Inrets et le LCPC, qui partageaient déjà le même président de Conseil d’administration et la même présidente de Conseil scientifique, avaient déjà lancé deux unités mixtes : le Livic (Laboratoire sur les interactions véhicule-infrastructure-conducteur) à Satory et le Lepsis (Laboratoire exploitation, perception, simulateurs et simulations), à Paris. "Ce regroupement répond en toute priorité à la volonté commune de nos deux ministères et des établissements de mieux traiter les sujets de recherche qui sont au croisement des compétences du LCPC et de l’Inrets sur lesquels la France risque de se trouver en position de faiblesse si elle ne réagit pas à temps", explique Hélène Jacquot-Guimbal, directrice générale du LCPC et préfiguratrice de l’Ifsttar. Les grandes missions du nouvel institut sont d’ores et déjà tracées :
- traiter les questions environnementales liées aux infrastructures et à leur exploitation (bruit, pollution de l’air, pollution de l’eau…) ;
- optimiser l’exploitation des réseaux routiers, en intégrant les préoccupations des économies d’énergie à celles de sécurité routière ;
- concevoir des réseaux routiers du futur, couplant véhicules communicants et infrastructures communicantes, ainsi que le développement de démonstrateurs pré industriels ;
- exploiter et assurer la maintenance et la sécurité des réseaux ferroviaires, au moment de l’ouverture européenne des marchés ferroviaires.