Dès le confinement, les chantiers ont été à l’arrêt total et n’ont que très peu redémarré en avril. Néanmoins, à partir du mois de mai, les mesures de prévention sanitaire ont été mises en place pour permettre la réouverture des chantiers.
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Par conséquent, le rythme des travaux a été ralenti et seulement les deux tiers de l’activité ont pu reprendre dans le bâtiment. Les reports de chantiers ont entraîné sur la troisième partie du trimestre un fort regain d’activité, dont le niveau a dépassé celui qualifié de normal pour cette période de l’année.
Au global sur le deuxième trimestre, les entreprises ont subi une forte baisse d’activité mais bénéficié d’une reprise très marquée en juin, le gros œuvre et les travaux publics ayant été beaucoup plus lourdement touchés que le second œuvre.
Durant cette période, les salariés ont bénéficié des mesures de chômage partiel et le recours aux emplois précaires, particulièrement dans les travaux publics, a été arrêté. Les prévisions pour le prochain trimestre sont à la poursuite du redémarrage de l’activité, déjà très bien amorcé, pour le bâtiment. Les entreprises de travaux publics sont, pour leur part, prudentes et n’anticipent pas pour l’instant de reprise d’activité.
