L’entreprise familiale qui affiche aujourd’hui un CA de 12 millions d’euros s’est développée et a évolué au fil du temps, « de 2 salariés en 1993, mon père et moi-même, nous sommes passés aujourd’hui à une cinquantaine de salariés. Notre parc se compose de 15 camions et d’une flotte d’engins de TP dont une dizaine de chez Hyundai. Notre siège basé à Colombier Saugnieu (69) réceptionne 50 000 T de déchets par an et se positionne comme un acteur majeur de la région. Notre croissance au fil des années s’est portée sur l’investissement de nos outils permettant d’optimiser le tri et la valorisation des déchets mais également sur l’acquisition de sociétés, VALOMET, spécialisée dans les métaux et ferreux et LBTP basée dans l’Ain, nous permettant d’élargir notre secteur géographique d’intervention et de couvrir 6 départements», commente David Hernandez.
PUBLICITÉ
Une marque avec laquelle l’entreprise a constitué sa flotte : " Notre parc de machines de TP est constitué d’une pelle sur chenilles 145 LC-9 ; une chargeuse HL970 ; une chargeuse HL955 ; deux pelles de manutention les modèles 200W7, 210W9MH, 210W9A, 170W9, 170W7, et bien sur notre dernière acquisition livrée en mai, la pelle de manutention HW250MH. Toutes de chez Hyundai et achetées auprès de Curty Matériels », énumère David Hernandez. Dernier achat en date ? Une pelle de manutention HW 250 MH acquise auprès du concessionnaire lyonnais Curty Matériels.
« Je ne pense pas qu’il y ait de mauvaises machines aujourd’hui, elles ont toutes des points forts et des points faibles mais avant tout nous achetons du Curty Matériels. Nous avons des métiers assez particuliers et nous avons donc besoin d’un très bon SAV. Nos métiers nécessitent une grande réactivité et la société Curty Matériels nous offre cette tranquillité d’esprit. Ils sont pros, présents sur le terrain, réactifs et à l’écoute de nos besoins. C’est un vrai partenariat ! », poursuit le dirigeant.
« Ce que nous apprécions également c’est que sur cette dernière génération de machines, le constructeur a été vraiment à l’écoute des remontées techniques que nous avions faites (les utilisateurs/opérateurs) tout au long de l’année. Par exemple le châssis a été élargi et renforcé, la machine est ainsi beaucoup plus stable mais sans pour autant avoir perdu en vitesse de travail et en confort de cabine. Nous avons eu aussi l’occasion de bien expliquer notre métier au fabricant qui s’est déplacé afin de se rendre compte sur le terrain de notre travail. C’est une machine robuste, souple, et nous avons de très bons retours quant à son efficacité», conclut David Hernandez.
