Sur Intermat, Soerma TP mettra en avant la première mini-niveleuse 100 % française Easy Grader, un tout nouveau concept de machine compacte et productive destinée à l’aménagement des voiries (pistes cyclables, allées piétonnes, terrains de sport…).
Avec un poids de 2,7 t, une force de poussée de 5 t, une conduite aux manipulateurs, un poste de conduite ergonomique, l’Easy Grader de Soerma TP a été développée par le constructeur vendéen en collaboration avec Guillet TP, une entreprise régionale, spécialiste de la location d’engins pour les travaux routiers. «Notre objectif premier a été de concevoir une machine de production à l’encombrement réduit et facilement transportable», avance Claude Bonnaud, directeur général de Soerma TP. Pour cela, la mini-niveleuse utilise un châssis inédit, avec 4 roues à transmission hydrostatique et une articulation centrale entre la flèche avant et le châssis arrière. L’Easy Grader offre différents modes de conduite, en 2 ou 4 motrices à l’arrière, marche en crabe et accélération progressive en continu, et elle peut également travailler sur des pentes prononcées. Son homologation routière lui permet d’aller d’un chantier à l’autre à 16 km/h, sa vitesse limite. Son moteur Perkins développe 49 ch, en dessous des normes imposant un système de post-traitement des échappements. Et pour rendre cette machine la plus efficiente possible, son concepteur l’a voulu facile à piloter en adaptant deux joysticks pour la manœuvrer et manipuler la lame, c’est-à-dire, son orientation, son levage, et son déport latéral droite/gauche de 250 mm. «Cette mini-niveleuse est donc très accessible et facile à opérer», ajoute Claude Bonnaud, «sans oublier le confort et une visibilité maximale sur les travaux». Pour cela elle est équipée d’une lame de 1.500 mm de large, extensible à 2.200 mm grâce à ses deux extensions amovibles. «Nous allons aussi développer sa polyvalence grâce à une gamme d’accessoires – lame bull, dents de déroctage, balayeuse, lame de déneigement, etc. – qui permettront de l’utiliser toute l’année», conclut Claude Bonnaud.
