Le groupe Holcim a ratifié en 2012 un protocole d’entente avec l’Union internationale pour la conservation de la nature dans l’optique de restaurer, de façon responsable, la carrière abandonnée de Chekka, au Liban. Focus sur ce chantier de réhabilitation débuté en 2013.
C’est dans le cadre de son engagement envers le développement durable que le groupe Holcim a accepté de participer à ce projet visant à rétablir l’état originel du site d’extraction. Le cimentier met ainsi l’accent sur l’écologie en tentant d’améliorer l’environnement immédiat des populations locales mais en ambitionnant aussi de faire de l’ancienne carrière de Chekka un modèle de site industriel revalorisé. Suite à une période d’évaluation et de planification, des gabions ont été installés avant d’être recouverts de terres végétales puis plantés d’essences et d’arbustes issus de la flore libanaise.
La branche Holcim Liban a travaillé de concert avec plusieurs structures publiques locales : les responsables du projet ont veillé à ce que le nouveau paysage s’intègre pleinement dans son environnement, tandis que des digues et des étangs ont été creusés afin de limiter l’érosion des sols et le ruissellement des eaux. De même, la biodiversité a été optimisée, et le site restauré devrait être visuellement attrayant grâce à l’édification des terrasses traditionnelles et des murs de pierres. Ce chantier de réhabilitation de la carrière de Chekka a fait l’objet d’un partenariat public-privé entre le gouvernement libanais et le groupe Holcim.