Distributeur Komatsu et Dynapac pour les régions Bourgogne et Franche-Comté, le concessionnaire BFCTP21 a réalisé deux journées portes ouvertes (13 et 14 mai derniers) marquées par une belle affluence et par un passage de relais à la tête de l’entreprise.
Le nouveau directeur général de la société, Xavier Lucand, évoque "un bilan très positif" avec des visites de qualité pendant toute la durée de l’opération. "Les personnes étaient véritablement intéressées par le matériel qu’on présentait et par l’entreprise. Des contacts concrets sont en train d’être établis. Certains prospects que nous avions du mal à avoir en démarche classique sont même venus nous voir", insiste-t-il. Même son de cloche du côté de Komatsu, même si le constructeur n’en attendait pas moins de la part du concessionnaire. "BFCTP21 est un bon concessionnaire avec une forte pénétration. Quand un bon concessionnaire invite des gens, ils viennent", constate Philippe Haguenauer, directeur commercial France de Komatsu. Les présences en avant-première de la niveleuse Komatsu GD555 et de la nouvelle midi-pelle PC118 de la marque nippone ne sont pas non plus complètement étrangères au succès de ces portes ouvertes.
Des avant-premières et un passage de témoin
L’événement n’était pas exclusivement à chercher au niveau commercial et technique, en cette mi-mai. Ces portes ouvertes furent aussi l’occasion pour André Simon de passer le flambeau à Xavier Lucand à la direction de BFCTP21. Partageant avec son prédécesseur un naturel "discret", le directeur général ne s’épanche pas sur son cas personnel et se contente de rappeler qu’il s’inscrira pleinement dans la stratégie qui a fait le succès de l’entreprise durant des années. "André Simon m’a fait venir au mois de janvier pour me mettre le pied à l’étriller et m’inculquer les méthodes de travail de l’entreprise. Mon idée est véritablement de pérenniser cette façon de travailler que je considère comme étant la bonne", assure le nouveau dirigeant. Si l’homme a tout de même embauché un commercial pour les pièces détachés, ses cinq mois passés à s’imprégner de la culture et des méthodes de l’entreprise l’ont conforté dans sa conviction que "l’on ne change pas une équipe qui gagne".