Pour cette nouvelle édition, l’organisateur First Connection a choisi un écrin de prestige pour organiser le rendez-vous biennal de la filière ferroviaire et de la mobilité urbaine. En l’espèce, la Cité de la Mode & du Design située en plein cœur de Paris. Et ce n’est pas pour déplaire aux cent deux exposants qui ont répondu présent pour participer à des échanges B2B et informels avec les visiteurs invités à l’évènement. « Le principe de Transrail Connection repose sur la mise en relation de ceux qui offrent de la technologie avec ceux qui la recherchent » explique Clotilde Cornevaux, chargée Marketing et Communication chez First Connection. « A cette fin, nous proposons en amont du salon une plateforme d’échange où les donneurs d’ordre indiquent précisément leurs besoins et les prestataires, leurs domaines de compétence. Grâce à ce listing, le donneur d’ordre décèle rapidement les sous-traitants ou fournisseurs susceptibles de répondre à ses domaines d’intérêts et sélectionne son programme de rendez-vous ».
A travers de ce format, First Connection entend donc tenir le rôle d’interface entre des professionnels qui peinent parfois à se rencontrer et donc à connaître leurs attentes et compétences respectives. La hausse attendue de fréquentation du visitorat (50 % par rapport à la précédente édition) confirme d’ailleurs l’intérêt des visiteurs pour ce nouveau type d’évènement qui leur permet de nouer de nouvelles relations business avec de potentiels partenaires, PME et start-up pour la majorité.
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Cette année, TransRail fait la part belle à l’internet des objets, au Big Data et aux systèmes intelligents appliqués aux infrastructures et aux matériels roulants. Le programme de conférences reprend largement cette thématique au travers de deux sessions complètes, mais également d’un showrom, une première pour TransRail, dédié à la maintenance prédictive et au sein duquel sont présentées plusieurs start-up innovantes issues du numérique. « Cette année nous avons souhaité orienter le positionnement de TransRail autour de la digitalisation et des technologies connectées, des innovations de rupture et du transfert technologique en provenance des PME, et de l’évolution des marchés internationaux en terme de mobilité», poursuit Clotilde Cornevaux.
Nos confrères de Ville, Rail & Transport ont ainsi animé une table ronde sur la thématique « Des métros automatiques dans le monde entier ? » avec la participation de constructeurs, d’ingénieristes et d’exploitants qui ont pris la parole afin de présenter leurs perspectives d’évolutions et de besoin technologiques, notamment auprès de la chaîne de sous-traitance.