Lundi dernier, la commission européenne a autorisé l’Etat français à accorder une aide publique de 1,3 milliards d’euros à l’entreprise commune formée par SNCF réseau et Aéroports de Paris en vue de financer le projet CDG Express. Une décision contestée par le collectif Stop CDG, composé en partie de l’association Pouvoir citoyen.
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A ce sujet, Julien Bayou pointe une mauvaise hiérarchie des priorités. Il déclare : “Il est évident que c’est aujourd’hui le RER B et l’amélioration des transports du quotidien qui doit être la priorité du gouvernement”. Un point d’accord avec Pierre Serne, conseiller régional d’Ile-de-France, ancien vice-président en charge des transports et des mobilités ainsi qu’administrateur du STIF qui ajoute que le CDG Express "concernera au mieux 20 000 personnes par jour quand le RER B en transporte un million”.