Le manufacturier vise "une amélioration de sa compétitivité pouvant aller jusqu’à 5% par an" pour les activités tertiaires et pour l’industrie, ce qui pourrait signifier "d’ici trois ans une réduction de postes pouvant aller jusqu’à 2.300", sur les 21 000 que compte Michelin en France. Une annonce qui fait suite à la fermeture, en fin d’année dernière, de son usine vendéenne de La Roche-sur-Yon où étaient employés plus de 600 salariés.
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Dans les prochaines semaines, le manufacturier rencontrera les organisations syndicales pour trouver rapidement un consensus sur un accord-cadre d’une durée de 3 ans. Cette annonce entérine la volonté du groupe de se recentrer sur les activités à très forte valeur ajoutée (pneus d’avions et agricoles, génie civil, compétition automobile, et d’une manière générale des activités avec de forts liens avec la recherche et l’innovation).