En 2 ans, AOS a déjà déployé sa plateforme auprès de 50 000 utilisateurs du BTP en France. La jeune pousse continue sa progression cette fois à l’international, et notamment en Belgique, au Luxembourg et en Suisse.

Débutée en juin 2020, l’internationalisation d’AOS ne fait que commencer. Elle a pourtant déjà donné lieu à la signature d’une trentaine de contrats. « Nous souhaitons accompagner et aider un maximum de donneurs d’ordres via notre plateforme. Je viens de ce milieu, j’ai testé les heures indues pour mener à bien un appel d’offres, en dehors du facteur business, c’est un vrai confort de travail que nous souhaitons apporter à nos futurs clients européens », explique Alexandre Brochot, co-fondateur d’AOS.

Un appel d’offres classique demande en moyenne 3 à 6 mois de travail. AOS simplifie les process et fait gagner du temps sur les tâches à moins forte valeur ajoutée : centralisation des infos, tableau comparatif des offres, et jusqu’à 10 fois moins d’échanges mail sur la recherche de partenaires. Malgré une digitalisation encore balbutiante dans le BTP, la plateforme est déjà plébiscitée par plus de 50 000 utilisateurs dans l’Hexagone et ses DOM-TOM.

« Le développement en France continue bien sûr mais c’est le bon moment de s’exporter au-delà des frontières. Notre choix s’est porté sur les marchés belge, luxembourgeois et suisse pour des raisons simples : ce sont des pays francophones et frontaliers avec un fort taux de croissance dans la construction », précise Alexandre Brochot.

La force d’AOS est d’avoir réussi à standardiser sa solution. Elle est donc duplicable facilement, quelle que soit la culture du pays d’implantation. Autre atout, quand cela est possible, AOS lie des partenariats avec des acteurs locaux afin de proposer une offre unique. C’est le cas en Belgique avec Smartbeam.

« À ce jour, 5 collaborateurs sont dédiés au développement de notre solution dans ces 3 pays. En 2021, ils seront une vingtaine à se concentrer sur de nouveaux pays, en Europe mais aussi dans d’autres parties du monde », ajoute Alexandre Brochot.