Fruit d’un accord franco-italien signé en 2001 et ratifié en 2002 par les parlements français et italiens, le projet de ligne à grande vitesse (LGV) Lyon - Turin reste d’actualité.
"La parole de nos deux pays est engagé et il n’a jamais été question de revenir sur cette parole", assure-t-on du côté du ministère français des transports, après les différentes sorties médiatiques du ministre Frédéric Cuvillier qui laissent présager d’une sélection parmi les projets d’infrastructures ferroviaires.
Une déclaration qui rassure quelque peu ceux qui attendent la LGV transalpine, mais qui ne règle pas tout. En effet, le gouvernement français a également rappelé la nécessité d’un "autre accord, qui tiendra compte des financements disponibles, notamment européen".
D’un coût total de 24,7 milliards, la ligne est toujours prévue pour 2023.