« L’entreprise a été créée en 1977 par notre père, explique Muriel Harlay, directrice générale de Coulommiers Poids lourds. Nous sommes issus d’une famille de transporteurs. À la succession de notre grand-père, notre père s’est spécialisé dans la mécanique et notre oncle dans le transport. » Au fil du temps, l’atelier a représenté différentes marques de poids lourds. « Nous nous consacrons désormais à Scania », précise Renaud Harlay, président, qui dirige Coulommiers Poids lourds avec sa sœur.
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Ce sont Muriel et Renaud Harlay qui ont contacté Scania France pour rejoindre le réseau français du griffon. « Les Scania ont l’image de véhicules hauts de gamme, notamment en termes de qualité et de fiabilité », souligne Renaud Harlay. « Nous avons déjà des propriétaires de Scania parmi nos clients. Le parc est important sur le secteur et il n’y avait pas de réparateur entre Mitry (77), Fleury (91) et Reims (51).»
« Nous n’avions pas un maillage optimal dans la région de Coulommiers, c’est ce qui nous a encouragés à étudier la demande de Coulommiers PL, précise Nadine Fribourg-Blanc, directrice réseau et stratégie de Scania France. L’objectif de Scania est d’être implanté dans les plus grandes villes et le long des grands axes routiers, en veillant à ce que nos clients n’aient pas besoin de faire plus de 40 km pour rejoindre un site Scania, 30 km autour des grandes agglomérations. Nous sommes aujourd’hui à 80 % de couverture moyenne sur le territoire français. » Au-delà de ces ambitions, un point Scania doit surtout répondre aux 15 promesses clients de la norme interne à Scania et Coulommiers Poids lourds a répondu en tout point aux exigences Scania.
Le réseau Scania compte 110 points de vente et de services en France, dont 38 succursales et 72 indépendants. Un maillage suffisant pour assurer une bonne prise en charge des utilisateurs de véhicules. L’objectif n’est donc plus de développer le réseau, comme le souligne Nadine Fribourg-Blanc : « Notre stratégie aujourd’hui est de rénover et d’agrandir nos sites actuels pour faire face à nos nouveaux défis, notamment l’arrivée des véhicules électriques et la gestion de la cybersécurité. »