Engagé depuis de nombreuses années dans la décarbonation de ses activités, le Groupe Cemex optimise le transport de ses matériaux de construction et souhaite faire évoluer au maximum les véhicules concernés vers des technologies plus respectueuses de l’environnement. En ce sens, l’entreprise incite fortement ses transporteurs réguliers à privilégier les carburants alternatifs ou encore l’électricité. Depuis le printemps 2022, les véhicules utilisés (camion-benne, camion-malaxeur ou encore semi-remorque électrique) sont signalés d’un marquage spécifique.
PUBLICITÉ
Un marquage pour valoriser l’action climatique
Cemex a imaginé un habillage spécifique pour ces véhicules aux énergies moins polluantes, constitué du logo Future In Action et spécifiant l’énergie alternative utilisée. Entre mars et juin, les premiers marquages ont été réalisés sur un camion-benne, un camion-malaxeur et la semi-remorque électrique. Dans les mois à venir et partout en France, tous les nouveaux véhicules utilisant des carburants alternatifs seront marqués.
« Cemex est engagé de longue date en faveur de la réduction de son empreinte carbone. À travers Future In Action, notre stratégie d’action climatique, nous nous sommes fixés pour objectif de réduire de 55 %** d’ici à 2030 les émissions de carbone de nos activités en Europe afin d’atteindre les objectifs de l’accord de Paris, » souligne Louis Natter, directeur développement durable. En 2021, le Groupe a naturellement souhaité rejoindre la démarche FRET21 afin d’améliorer ses performances environnementales dans le domaine du transport. FRET21 a pour objectif d’inciter les entreprises agissant en qualité de donneurs d’ordres des transporteurs à mieux gérer l’impact des transports dans leur stratégie de développement durable. Chaque entreprise volontaire signe un engagement avec l’Ademe dans lequel elle précise un objectif de réduction des émissions de CO2 et s’engage à mettre des actions en place pour y parvenir. Cemex s’est ainsi engagé à réduire ses émissions de carbone liées aux transports routier, ferroviaire et fluvial de 12 % d’ici à 2024.