Schöck dévoile le dernier né de sa gamme de rupteurs de ponts thermiques, Rutherma type DFi, poids plume en carbone mais poids lourd en performances thermique et structurelle.
C’est parce que le marché français continue de privilégier le traitement des ponts thermiques des liaisons dalles-façade en ITI que Schöck présente une de ses dernières innovations, le modèle DFi. Spécifiquement destiné à être mis en place dans une configuration de dalle coulée en place, il affiche des qualités supérieures en matière de performances thermique et structurelle. Quant à répondre aux attentes du point de vue carbone de la future RE2020, le DFi revendique plus de 10 fois moins de kg de CO2/Ml que la valeur indiquée sur la base INIES pour un pont thermique non traité. Fort d’un nouveau corps isolant, du Néopor (alliage de styrène et de graphite de granit) en lieu et place du polystyrène expansé, cette évolution s’accompagne d’une meilleure conductivité thermique puisqu’il passe d’un lambda de 0.035 w/m.K à 0.031 w/m.K. L’innovation porte aussi sur un nouveau positionnement des aciers inox du Rutherma DFi, conférant un triple intérêt. D’abord structurel, car la conséquence directe est d’augmenter ses efforts tranchants de 22 % ainsi que la reprise des moments jusqu’à 83 %. Puis thermique, puisque le nombre d’aciers inox a été réduit sur sa longueur d’1 mètre, sachant que moins d’aciers se traduit par moins de conductivité thermique, donc plus de performance thermique. Enfin, le DFi se prévaut d’un faible poids en carbone (kilo de CO2/Ml), grâce à la faible densité de ses armatures en inox.