En dépit d’une année 2020 fortement perturbée par l’épidémie de la Covid-19, la baisse du chiffre d’affaires de Vicat consolidé de -3,2% au premier semestre a été gommée au second semestre qui progresse de +13,8% à périmètre et change constants. Sur l’ensemble de l’exercice, le chiffre d’affaires consolidé du Groupe atteint 2 805 millions d’euros, soit une croissance de +2,4% en base publiée par rapport à 2019, et de +5,5% à périmètre et taux de change constants.
« La mobilisation et l’engagement des collaboratrices et des collaborateurs du groupe Vicat ont été déterminants pour renforcer l’entreprise dans la crise sanitaire sans précédent que nous avons traversée », déclare Guy Sidos, Président-Directeur Général, « la résilience et l’agilité du Groupe lui ont permis d’adapter son organisation pour concilier protection sanitaire, efficacité et rentabilité en réussissant des ajustements rapides comme la relocalisation de son siège social parisien en région Auvergne-Rhône-Alpes, à l’Isle d’Abeau. Dans le même temps, la gouvernance de Vicat a été renforcée et les transitions écologiques et numériques accélérées. La robustesse de la génération de cash-flows a permis de relancer des programmes d’investissements de productivité importants pour le futur. Malgré l’adversité, l’engagement des équipes Vicat sur tous ses territoires d’implantation a permis de conforter l’efficacité industrielle de ses usines pour servir les marchés dans de bonnes conditions économiques et contribuer à une solide progression des résultats du groupe Vicat ». Ainsi, le groupe affiche une progression de son chiffre d’affaires de +5,5% à périmètre et change constants et une augmentation de la rentabilité opérationnelle (EBITDA et EBIT en hausses respectives de +10,1% de +17,5% à périmètre et change constants). En 2021, le Groupe poursuivra ses efforts d’investissements, qui concerneront pour l’essentiel : la construction du nouveau four de Ragland aux Etats-Unis, des efforts sur ses outils de production en Inde afin d’augmenter marginalement leurs capacités, et des investissements dans de nouveaux terminaux afin d’élargir son marché et réduire ses coûts logistiques, et enfin, la montée en puissance de projets liés aux objectifs de réduction de son empreinte carbone.