Sous le prisme de son expertise en droit immobilier, le cabinet propose un accompagnement dédié à toutes opérations de structuration, de gestion et de mutations d’immeubles. En conciliant enjeux sociaux, économiques, environnementaux et juridiques, Urban Act propose ainsi de participer à la création et à l’évolution d’un droit adapté à de nouvelles pratiques et de nouveaux usages de l’immeuble comme le coliving, ou le coworking.
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« Nous constatons aujourd’hui l’émergence de plus en plus d’espaces de travail ou de réunion partagés (coworking ou comeeting) dans des tiers lieux non dédiés, comme par exemple les halls d’hôtel, les espaces commerciaux, les salles de restaurants, etc. Cette évolution des pratiques engendre nécessairement une adaptation du droit, à laquelle notre cabinet souhaite répondre aujourd’hui. », précise Laetitia Bô, associée d’Urban Act.
« La période que nous traversons actuellement appelle une réinvention des pratiques dans le secteur immobilier. L’explosion du télétravail, dû à la Covid, va notamment avoir des implications concrètes sur la vacance locative de beaucoup de lieux : ces espaces vont devoir se réinventer, en prenant en compte le travail de demain. Avec Urban Act, nous souhaitons permettre à nos clients de développer des moyens, dispositifs ou pistes de réflexions juridiques rapidement applicables, largement diffusables et pouvant générer des effets à long terme », ajoute Valentine Gros, associée Urban Act.