Vinci a fait une bonne affaire avec l’intégration de Cegelec, puisque cela lui permet de se hisser à la première place européenne dans le domaine de l’ingénierie électrique. Cela s’est fait à la suite d’un partenariat stratégique avec le fonds Qatari Diar. Celui-ci a apporté Cegelec à Vinci, devenant en même temps le deuxième actionnaire derrière les salariés (9,1%) et devant Artémis, la holding de François Pinault.
Ghanim Bin Saad Al Saad, directeur général de Qatari Diar a souligné que ce partenariat permet au groupe « d’entrer au capital de Vinci comme actionnaire à long terme et de référence ».
On notera que Vinci a repris Cegelec avec sa dette d’exploitation, environ 220 millions d’euros, mais pas sa dette d’acquisition.