Si le Bureau, qui représente les maires du Grand Paris, se réjouit de l’engagement formel du gouvernement à réaliser l’intégralité du projet du Grand Paris tel qu’il a été arrêté en Conseil d’Etat le 24 août 2011, il s’inquiète des répercussions de ces retards. Ils auront pour effet de "remettre en cause les projets d’aménagement, les programmes de logement, les opportunités d’investissement et d’emploi déjà prévus" notamment autour des gares.
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En outre, "à l’heure où la France est mise en cause par l’Union Européenne sur le dossier de la qualité de l’air, tout retard sur la construction des transports publics collectifs est un mauvais signal".