« Actuellement, la reconnaissance quotidienne des lignes à grande vitesse est réalisée par des TGV, et il est peu de dire que ces trains ne sont pas vraiment conçus pour ces missions de maintenance..., explique Jack Morin, le responsable commercial de la société. Des études récentes ont ainsi montré que le poids (400 tonnes) de ces fleurons technologiques occasionne des dégâts non négligeables sur les voies (3 % de l’usure générale). En partenariat avec la CIM, la société a donc planché sur un concept de train léger rapide mono-caisse avec deux boggies réindustrialisés de type RTG Y223 et équipés chacun d’un frein électromagnétique.
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