Prochainement, comme le rappelle un communiqué de Routes de France, « le véhicule connecté et autonome interagira avec les infrastructures ; le développement de nouvelles motorisations et, en particulier, de l’électrification, s’articulera avec des infrastructures dotées de revêtements soucieux d’une meilleure efficacité et équipées de bornes de recharge. »
PUBLICITÉ
Les thématiques de coopération technique portent sur trois champs principaux :
Leurs interactions en lien avec le véhicule autonome et connecté et les expérimentations actuelles et à venir
-Leurs interactions au service de la transition énergétique et écologique et le potentiel contributif de l’infrastructure routière
-Leurs interactions pour l’amélioration de la sécurité routière
Les deux acteurs ont par ailleurs l’objectif de partager leur vision commune avec les pouvoirs publics, au plan national comme au plan local (collectivités locales, autorités organisatrices de mobilité) tant au sujet des usages futurs du véhicule et des infrastructures, que des développements en cours et besoins d’expérimentation.
>>A lire également: Retour vers les routes du futur
>>La mobilité urbaine européenne en mutation