L’ouverture du site est déjà fixé à 2017 et la ventilation des investissements dans l’infrastructure établie : 400 à 500 millions d’euros pour le groupe de BTP Vinci, 138.5 millions pour l’Etat et 115 millions pour les collectivités locales. Pourtant, la coordination des opposants espère encore remettre en cause ce projet et estime qu’il "est encore temps de faire bouger les choses". Le collectif d’élus opposé au projet promet, pour sa part, "une forte mobilisation".