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Après avoir défrayé la chronique, les chantiers du Mondial de football 2022 sont désormais surveillés de près par les ONG. L’idée est de s’assurer que les droits des centaines de milliers d’ouvriers immigrés sont bien respectés.
En 2017, le comité d’organisation de la Coupe du monde avait officialisé 10 décès sur ces chantiers. Puis, en 2013, la Confédération syndicale internationale (CSI) a estimé à 4 000 le nombre d’ouvriers tués à la tâche d’ici 2022, rappelle le journal suisse Le Temps. Au Qatar, ces chiffres sont contestés mais encore récemment, la représentation des ouvriers indiens évaluait à 279 le nombre de décédés en 2014 et 2015.
Ces décès à répétition s’expliquent principalement par le rythme élevé auquel sont soumis les ouvriers pour finir les chantiers en temps et en heure. Certains d’entre eux travaillent 14h d’affilé sans pause sous des températures très chaudes qui conduisent à la déshydratation.
Le Qatar a dévoilé le 15 décembre dernier le design spectaculaire du stade de Lusail, destiné à accueillir des matches de la Coupe du Monde 2022. Crédit photo : FIFA