Ce protocole additionnel de 8,4 milliards d’euros a pour objectif de permettre le lancement des travaux qui avait pourtant fait l’objet d’un accord en 2001, écrit Les Echos. Il instaure des règles communes sur le chantier et précise également son financement (pris en charge on le rappelle à hauteur de 40% par l’Union européenne). Si aucune extension de fonds n’a été prévu au budget, on prévoit d’atteindre un seuil de 10 milliards d’euros d’ici 2028 en raison de la hausse du coût des matières premières et de l’inflation.
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