Allo Casse Auto (ACA), le 1er centre VHU (véhicules hors d’usage) français en volume qui traite en moyenne 35 000 véhicules par an à Athis-Mons en Essonne (91), s’adapte en permanence aux évolutions de la réglementation et propose tous les services de la reprise du VHU, dédiée à la filière de valorisation et/ou de destruction, à la vente de pièces détachées neuves ou d’occasion, en passant par un large choix de formules d’entretien ou de révision auto ainsi que des opérations de mécanique lourde.
« D’ici le 1er janvier 2015, la réglementation imposera un taux de valorisation de 95% contre un taux actuel d’environ 85%. La responsabilité du respect de ce taux reposera sur le centre VHU! Hors nous n’avons pas aujourd’hui accès aux taux de valorisation des sites de broyage. Nous voulons la transparence avec des notes pour les procédés de traitement, ce qui nous permettra de choisir au mieux, explique Fabrice Henriot, pdg d’Allo Casse Auto, crée en 1969 par son père Patrick Henriot.Après dépollution, les matières directement valorisables et faciles à démonter sont enlevées, sur place, dans les centres agrées. Les VHU sont ensuite envoyées en destruction sur des sites composés d’un gros broyeur et d’une chaine de traitement qui assure la séparation des matières valorisables et recyclables. Allo Casse Auto travaille avec le site de broyage de Derichebourg situé juste à côté. « Ici, nous réalisons entre 5 et 8 % du travail de valorisation de certaines matières comme les plastiques en polypropylène (PP) des pare-chocs et des passages de roues. Nous récupèrons aussi une partie de l’aluminium et du cuivre facile à enlever des faisceaux électriques dans les planches de bord et sous le plancher. Les jantes séparées des pneus, sur place, partent directement en recyclage.Nous proposons également la vente directe d’une partie des pièces des VHU encore sur les véhicules. Nos clients démontent les pièces dont ils ont besoin directement sur les véhicules. Notre parc d’environ 500 véhicules est renouvelé régulièrement. Par ce biais nous vendons des pièces que nous ne pourrions pas stocker et que nous ne démonterions pas », ajoute Fabrice Henriot.