Un an après le lancement de sa première centrale à béton, à Alizay, Revobeton confirme sa volonté de se développer dans le bassin rouennais, en installant son deuxième site de production à Saint-Etienne-du-Rouvray (76). La production garantit du béton bas carbone dans une démarche globale d’économie circulaire.
Adhérent au Syndicat National du Béton Prêt à l’Emploi (SNPBE), Revobeton fabrique tous types de béton prêt à l’emploi, destiné aux professionnels mais aussi aux particuliers. En 2021, la centrale d’Alizay a produit 13 500 m3 de béton et a atteint un chiffre d’affaires de 1 500 000€. L’entreprise a investi 100 000 € dans son propre laboratoire qui permet aujourd’hui de bénéficier d’un panel de 160 formules différentes pouvant répondre à tous types d’ouvrages : travaux routiers, béton décoratif, chape fluides. « Pour cette seconde centrale, le choix de la localisation a été mûrement réfléchi », explique Guillaume David, Directeur de Revobeton, « nous avons de réels besoins sur la métropole rouennaise. Afin de poursuivre notre engagement de respect de l’environnement, il est évident pour nous d’installer les centrales au plus proche de la demande et de poursuivre le recyclage des matériaux provenant des chantiers et des plateformes de recyclage des filiales du Groupe Lhotellier ».
Une démarche vertueuse et circulaire
Filiale du Groupe Lhotellier, Revobeton bénéficie de la synergie des autres métiers de l’entreprise. Elle intègre dans ses formulations des granulats recyclés issus de RDE, une autre filiale de Lhotellier, spécialisée dans le recyclage des matériaux de la déconstruction de chantiers, située à Oissel. L’entreprise réutilise aussi des matériaux alternatifs issus de Lhotellier Dépollution, qui traite des terres impactées grâce à une station de lavage. Toutes ces initiatives répondent aux engagements pris par le Groupe dans la réduction de son impact carbone tout en favorisant une économie circulaire inter filiales. En 2021, ce sont 432 tonnes de CO2 que Revobeton a économisé grâce à l’utilisation de ces liants recomposés, sur la centrale d’Alizay.
