Cette année, CDE travaille plus particulièrement sur la valorisation des terres inertes avec un focus important sur les terres impactées, sujet de demain pour la valorisation des déblais de chantier. Sur ce thème, CDE a déjà mis en œuvre plusieurs installations en Europe capables de traiter des micropolluants du type PFAS, issus de ruissellement dans les sous-sols jusqu’aux nappes phréatiques, créant ainsi une potentielle pollution de la ressource en eau.
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								CDE en France compte une dizaine d’installations dont la capacité moyenne est de 80 t/h, avec plusieurs nouveaux projets à l’étude ou en cours de réalisation, tant en France qu’en Belgique et en Suisse. Ces dernières demandes vont vers des capacités supérieures de traitement jusqu’à 250 t/h. À savoir que la tendance est de créer des plateformes de traitement au plus proche de l’activité humaine, dans une logique de carrières urbaines, ce qui permettra de s’intégrer complètement dans un concept d’économie circulaire au niveau des déblais de chantier.