Certaines fonctionnalités de ce site reposent sur l’usage de cookies.
Les services de mesure d'audience sont nécessaires au fonctionnement du site en permettant sa bonne administration.
ACCEPTER TOUS LES COOKIES
LES COOKIES NÉCESSAIRES SEULEMENT
CONNEXION
Valider
Mot de passe oublié ?
TERRASSEMENTS

La formation pratique de Rokbak crée des résultats

LA RÉDACTION, LE 18 JUILLET 2025
Archiver cet article
Newsletters
La formation pratique de Rokbak crée des résultats
Crédit : Rokbak
Tommy Moore, responsable de la formation après-vente de Rokbak a façonné un programme unique et pratique qui permet de réduire les coûts d’exploitation, d’améliorer la disponibilité des machines et de favoriser les partenariats.

Pour Tommy Moore, responsable de la formation après-vente chez Rokbak, une formation sur les tombereaux articulés (ADT) ne se déroule pas devant une diapositive PowerPoint. Elle se déroule dans l’atelier, outils en main, au cœur des composants qui assurent la productivité d’un chantier. Cette approche pratique et concrète reflète parfaitement son propre parcours au sein de l’entreprise et incarne l’engagement de la marque envers ses clients et ses concessionnaires.

PUBLICITÉ
La carrière de Tommy chez le constructeur écossais n’a pas débuté dans une salle de classe, mais sur la chaîne de montage, à construire physiquement les tombereaux robustes qui font la renommée de l’entreprise. Cette expérience fondamentale, passant de la chaîne de montage à l’ingénierie mécanique, où il a réécrit les procédures opérationnelles normalisées (PON) pour la construction des chariots, lui a permis d’acquérir une compréhension approfondie de chaque écrou, boulon et système.

Apprendre par la pratique

« On peut parler toute la journée en montrant une image, mais ce n’est pas la même chose que d’accompagner un groupe de techniciens vers une machine, de leur montrer le composant et de leur montrer son fonctionnement sous leurs yeux », explique Tommy. « Lorsque nous discutons d’une pièce du chariot, nous travaillons sur cette pièce. Nous disposons d’un atelier complet ici, à notre siège social de Motherwell, en Écosse, où nous pouvons démonter une machine et la remonter. C’est ainsi que les gens apprennent véritablement. »

Cette philosophie va au-delà d’un simple enseignement efficace ; elle vise à apporter une valeur concrète aux clients de Rokbak. La formation, offerte gratuitement aux concessionnaires et aux utilisateurs finaux, a un impact direct sur le coût total de possession (TCO) et la disponibilité des machines.

Optimiser les performances

L’un des principaux objectifs est de former les opérateurs – ou les techniciens à former les opérateurs – à exploiter pleinement le potentiel des chariots, ce qui allège la charge sur les consommables.

« Une grande partie de notre formation consiste à montrer aux ingénieurs de terrain et aux opérateurs comment utiliser correctement la technologie du chariot, comme le ralentisseur et les techniques de changement de vitesse », explique Tommy. « Si un opérateur n’utilise pas correctement le ralentisseur, par exemple, il peut user ses freins trois fois plus vite qu’il ne le devrait. En leur enseignant certaines techniques de conduite, nous faisons économiser de l’argent au client et maintenons son chariot en état de marche. »

Sur site, pratique

Avec un objectif de 70 % de techniciens de concessionnaires formés dans le monde, le programme de Rokbak propose des formations de quatre jours, dispensées sur le site de Motherwell, avec piste d’essai, sont complètes et personnalisées. Tommy et ses collègues contactent souvent les participants à l’avance pour comprendre les problématiques spécifiques auxquelles ils sont confrontés, ce qui leur permet d’organiser des démonstrations pratiques pour résoudre des problèmes concrets.

Cette approche sur mesure et concrète est bien différente des sessions d’un ou deux jours, courantes dans le secteur. « Nous avons la chance de pouvoir démonter physiquement un essieu ou une transmission et de laisser les techniciens prendre la main dessus », souligne Tommy. « Nous voulons qu’ils repartent d’ici parfaitement à l’aise avec le camion.»

Cet engagement va bien au-delà des portes de l’usine. Que ce soit au Ghana, en Australie ou en Indonésie, la règle est la même : la formation doit se dérouler sur site avec un camion.

« On ne peut pas intéresser un groupe de 15 techniciens avec une présentation dans une salle de réunion, surtout en cas de barrière linguistique », explique-t-il. « Mais faites-les travailler ensemble, effectuez des tests, vérifiez les pressions et diagnostiquez les problèmes ; c’est un langage que tout le monde comprend. Ils mettent la main à la pâte. »




PARTAGER :
Toute l'information de cette rubrique est dans : Terrassements & Carrières
Le magazine pensé comme un outil destiné aux carriers, aux terrassiers et aux entreprises de construction routière.
Découvrir nos newsletters →
À LIRE ÉGALEMENT
Le Club DLRH repart en tournée
Le Club DLRH repart en tournée
7 200 visiteurs à Technotrans
7 200 visiteurs à Technotrans
Le plan triennal du groupe Payant
Le plan triennal du groupe Payant
Samoter 2026 lance un pôle de formation
Samoter 2026 lance un pôle de formation
TOUS LES ARTICLES TERRASSEMENTS
Les plus lus