Économie circulaire, labels RSE, biodiversité, risques industriels, sont des
sujets sur lesquels elle a porté la voix des entreprises auprès des pouvoirs publics et dans le cadre d’instances de dialogue multi parties prenantes telles que le Conseil national de la Transition écologique ou encore la Plateforme RSE. Auparavant, Sarah avait travaillé pour l’industrie sucrière réunionnaise et sur les enjeux environnementaux dans le cadre de volontariats internationaux sur le continent africain.
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« Afin d’encourager les entreprises du secteur à s’investir toujours plus dans ces démarches, l’un des objectifs d’UEE sera de poursuivre les efforts d’accompagnement des entreprises de toutes tailles, en particulier des PME, en les aidant à anticiper ces changements. Il sera par ailleurs crucial de continuer à se mobiliser pour que le Label RSE, qui valide toutes les conditions requises, obtienne la reconnaissance des pouvoirs publics », déclare Sarah Rachi.
Diplômée de Sciences Po Toulouse et d’un Master 2 en Droit de
l’environnement, Sarah était auparavant responsable développement durable de la Confédération des petites et moyennes entreprises. Elle a travaillé pendant plus de 6 ans dans des organisations patronales interprofessionnelles (Medef, CPME) sur les sujets de RSE et de développement durable.